Match contre l'Inra (11/11/2008)
Encore un match qui vient engraisser notre panoplie de "match qu'on aurait du gagner et qu'à la fin on perd" ! Après un premier set catastrophique à côté duquel la Tour Infernale est un joyeux goûter d'anniversaire qui tourne un peu mal, nous pensions avoir fait le plus dur en rendant la pareil (à raclette) à nos adversaires du jour en leur siphonnant le second set slurp...
Hélas, le troisième set s'est transformé en course poursuite qu'on a perdu comme à la belle époque. Restait le quatrième pour pouvoir accrocher un tie-break et voir un peu si on aurait plus de chance que la saison passé avec cet exercice faltime (un mix de fatal et ultime - un nouveau mot que je voudrais bien soumettre à Zora Larousse ou au Petit Robert Mélanchon).
Mais le Valéry Giscard destin en a décidé autrement. Le quatrième set nous a vu couler à pic avant de faire une super-remontée mécanique. Nous étions bien calés à 22-18, prêts à empocher cette manche (la manche dans la poche, je l'ai déjà faite), quand tout s'est enrayé dans notre fragile moral de vainqueur potentiel mais que à la fin c'est les allemands qui gagnent...
A défaut de tie-break, je vous offre une magnifique DS break d'époque !
On n'y perd pas hein ?
Résultat : on perd cette dernière manche 25-23... du gâchis, assurément.
Je ne parlerai pas du terrain bleu avec les lignes bleues. Ce n'est pas une excuse, mais ça doit perturber les capteurs spatio-visuels de nos vieilles carcasses hors d'âge.
Je ne parlerai pas de l'arbitrage qui frisait l'erreur judiciaire à chaque point litigieux (ou pas litigieux d'ailleurs). Ce n'est pas une excuse, mais nous avons vécu un Outreau volleyistique, entre incompétence du magistrat désigné d'office (du tourisme) et mauvaise foi des jurés-crachés d'en-face. Même si la défaite n'est pas forcément liée à cette parodie, ça laisse un goût amer noir.
Sûr qu'il aurait fait mieux...
Bon, il serait bien de rattraper ça contre Vic le Comte (est bon ? Bon celle-là elle est faite, faudra que je me creuse pour la prochaine fois).
Agadlatélé epi d'or !